Le pont de Khodaafarin enjambe depuis le 13e siècle la rivière Araz qui sépare l’Iran de l’Azerbaïdjan. Il est la mémoire du Karabakh, libéré après une occupation de 30 ans, et le symbole de l’unité retrouvée du peuple azerbaïdjanais. Ses piliers presque millénaires sont aussi le symbole de la force qui anime les azéris. Celle de leur indestructible espoir de ne plus jamais être séparés. La réalisatrice Layla Sarabi revient sur les traces de ces lieux magiques qui l’ont vue naître.
Voir aussi notre article : « 27 ans après, Layla retrouve son Karabakh natal dévasté«
J’avais écris un commentaire raisonnable concernant ce récit et affirmant la nécessité bien islamique de ne pas verser dans l’idolatrie dans certains commentaires. Après qu’il fut publié, il disparu. Ai-je froissé quelques âmes sensibles?