MACRON, DARMANIN, SCHIAPPA ET LA LOI DE MURPHY

Connaissez-vous la « Loi de Murphy » ?

Elle énonce que « Si quelqu’un a la possibilité de faire une erreur, il la fera ». Si Edward Murphy a énoncé son principe en 1949, celui-ci reste d’une criante actualité.

Emmanuel Macron avait le choix entre respecter sa promesse de 2017 d’écouter les Français, et celui de se conduire en autocrate sourd et sûr de lui. Qu’a-t-il préféré ?

Il avait la possibilité de constituer un gouvernement rassembleur, soucieux de l’unité du pays, ou bien de choisir un ministre de l’intérieur dont la principale « oeuvre littéraire » avait pour titre « séparatisme ».

Il pouvait désigner une représentante de l’égalité hommes-femmes digne de ce nom, sa ministre pose pour Playboy et se trouve emberlificotée, non seulement dans sa robe blanche, mais dans une affaire de détournement de fonds.

Rarement un chef d’État n’a pris autant de décisions contraires à son propre intérêt. Sauf peut-être Chirac au moment de sa dissolution de l’Assemblée Nationale. Mais ce fut une erreur sans impact sur la vie des Français. Contrairement à ce à quoi nous assistons aujourd’hui.

Quelle sera donc l’issue de cette suite infinie de bévues ? La réponse est peut-être dans une autre formulation de la loi de Murphy : « S’il y a un risque que les choses tournent mal, cela arrivera »

Jean-Michel Brun

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